La fashion-week est terminée, après un mois intense depuis New York, les défilés rythmaient la journée. Il est temps aujourd hui de faire les bilans du Prêt à porter Printemps Ete 2010.
Je commence donc par Chanel.
Je vous laisse regarder le défilé, on en reparle après.
Plusieurs réflexions sont venues à moi, tout d’abord, je tiens à préciser que je ne juge pas sur la seule vidéo. Non, j’ai assisté au show au Grand Palais de vifs yeux. J’ai pu ainsi me faire un jugement.
Voici donc mes pensées:
Tout d’abors, le décor, ayant assisté à de nombreux défilé Chanel, j’ai été déçu à première vue du décor, j’ai trouvé que le décor sonnait faux, trop artificiel. En regardant le décor de plus près, on peux remarquer que la grange est parfaitement construite à l’ancienne dans le moindre détail. Puis les manequins sortant de la botte de foin était aussi une bonne idée.
On avait donc nous les spectateurs les yeux sur la basse cour avec les manequins qui défilaient autour de la grange.
Au niveau de la musique, plusieurs point m’ont génés, tout d’abord, celle-ci était bonne mais le problème a surgi au milieu du défilé lorsque Lily Allen est sortie par le plancher et a commencé à chanter. Toute les personnes n’avaient de yeux que pour elle, le défilé qui continuait à se dérouler n’était qu’accessoire, j’ai trouver cela fort dommage.
Au niveau des créations, j’ai aimé cette collection qui se voulait fraîche, avec un esprit de jeunesse éternel avec les manequins qui avaient le sourir, qui dansaient à la fin du défilé et aussi avec Baptiste Giabiconi qui a faît plusieurs apparitions avec de gente demoiselles.
J’ai eu l’impression d’une insouciance dans ce monde de crise, où l’on met de côté nos soucis pour l’amour.
Comme d’habtude, de nombreux VIP étaient présent, on a pu voir Rihanna, Prince, Claudia Schiffer, Virginie Ledoyen, Jean Rock, et bien sur Bernadette Chirac qui ne loupe aucun défilé ainsi que Monique Lang, la femme de Jack Lang. Il y avait aussi de nombreuses femmes de ministres.
En résumé, un défilé très réussi au niveau des créations mais qui n’ont pas été assez mis en valeur.